Hello Gérard.
Merci pour ton appréciation.
(euh... katzen, ça a un rapport avec les chats ?)
Pour le making of du fullerène (oui, j'aurais du m'adapter au niveau du forum

), c'est un peu comme d'habitude : le sujet est tenu en l'air par une des pinces de mon étau de précision (par une des ailes, il y a de la place chez les papillons), je l'oriente comme je le peux sous l'objectif (un Olympus MPlan 20 LWD dans le cas présent - encore une fois, il n'est qu'achromatique et ça se voit

), je place un diffuseur à base de pot d'actimel (là, c'est le modèle "débordant" c'est à dire qu'il est bien plus long que l'objectif - il tient par de la patafix sur la bague d'adaptation RMS -> soufflet) et je mets mon flash chinois synchronisé au câble, en "M" avec une puissance réduite considérablement (1/64 -
a priori), à moins de 5 cm du diffuseur. Il y a un temps parfois assez long de placement du sujet, de positionnement du flash.
Je travaille par terre, le boitier + soufflet sont sur un trépied, l'étau de précision (que je remplace parfois par une rotule pour des objets posés... parfois, l'étau me sert à porter une lame de verre... pour les dispositions de zazou, j'essaierai de donner quelques exemples et schémas) est sur un statif de microscope décapité, le statif est désormais vissé sur un plan de travail sur lequel je suis lors de la prise de vue (et comme je suis sur un parquet, je ne dois pas trop changer de position durant toute la confection de la pile). Le flash est sur un trépied. J'actionne la vis micrométrique à la main et je déclenche via un déclencheur souple (chinois lui aussi).
La planète peut pourvoir aux besoins de tous, mais non pas satisfaire la cupidité de certains (Gandhi)