Suite...
DanielCrabbé a écrit :speculoos a écrit :Un ON de 1,3 peut se satisfaire d'un condenseur de 0,90 (1,3 * 0,7)
J'ai peut-être loupé quelque chose dans le fil, mais je ne comprends pas cette formule

. D'où vient le 0,7 ?
Je suppose que c'est parce que l'on estime que le rendu est le plus intéressant quand on est aux 2/3 de l'ON de l'objectif.
Sinon, pour
lili78 a écrit :Un grand merci pr tes explications. J'aurai une autre petite question est ce l'ouverture numérique qui détermine l'utilisation de l'huile ou pas ? Et si oui à partir de quelle ouverture doit on forcément utiliser l'huile ?
Je dirais qu'il faut utiliser l'huile quand c'est écrit sur le fût de l'objectif (par ailleurs, certains objectifs sont pour l'immersion à l'eau ou dans la glycérine ou pour tout faire...)
L'huile permet d'augmenter l'ON.
Après, si on se réfère à des utilisations classiques, l'huile se justifie pour des ON supérieures à "1" (celle de l'air).
Si on trouve des objectifs à immersion avec des ON inférieures à 1, l'inverse semble impossible (ON supérieur à 1 pour des objectifs à sec)
Le facteur limitant, est souvent le condenseur.
Si on veut profiter à plein de l'ON (et donc de la résolution qui va avec) d'un objectif apochromatique du genre 100/1,4, il faut un condo aplanetique d'1,4 et il faut mettre de l'huile entre le condo et la lame et de l'huile entre la préparation et l'objectif.
S'il y a de l'air entre tout ça, on retombe à 1... ce qui est suffisant dans 99% des cas (je dis ça au pif...)
La planète peut pourvoir aux besoins de tous, mais non pas satisfaire la cupidité de certains (Gandhi)