Le Naturaliste

Bonjour Maraussan,

Mais qu'est-ce (qui est-ce) ?, le "vieux machin" qui est exposé en image ?

C'est peut-être évident pour les autres, mais pas pour moi.

Cordialement,

Bino

Pour moi ce n'est pas un avantage! Vaut mieux un bon statif en acier de 15 kg pour la photo!

Diable, cela me rappelle l'époque du boitier Pentacon reflex 6x6 utilisé sur certains statifs. On entendait le miroir cogner à la remontée à l'autre bout du couloir.
Mais si une telle configuration est encore indispensable à l'ère du numérique, c'est que le système de prise de vue mis en oeuvre est défaillant. C'est mon point de vue...

Maraussan a écrit :Pour moi ce n'est pas un avantage! Vaut mieux un bon statif en acier de 15 kg pour la photo!

Diable, cela me rappelle l'époque du boitier Pentacon reflex 6x6 utilisé sur certains statifs. On entendait le miroir cogner à la remontée à l'autre bout du couloir.
Mais si une telle configuration est encore indispensable à l'ère du numérique, c'est que le système de prise de vue mis en oeuvre est défaillant. C'est mon point de vue...

Les sujets maintes fois rapportés ici de certains réflexes "vibrants" (donc difficiles à maitriser aux forts grossissements) par @fredlab en particulier, montrent bien que le problème n'est pas toujours facile à régler. L'emploi d'un statif LOURD apporte un début de solution surtout:
- si le réflex est positionné directement sur le tube trino sans support extérieur au microscope ( statif additionnel)
- si le micro n'est pas installé sur une paillasse maçonnée.

La meilleure preuve est celle du NIKON DIAPHOT (inversé) qui peut être équipé d'une semelle en fonte de 15 kg.
Si on ajoute une sortie photo au point bas du statif (NIKON DIAPHOT), on obtient la meilleure solution pour obtenir des photos jamais bougées.

Quant aux microscopes de recherche modernes, ils sont tellement lourds compte tenu des équipements qu'ils comportent, que la question du poids ne se pose même pas.

Oui mais ton Diaphot date de l'ère de la photo argentique, c'est le pourquoi du pourquoi...

Hello

Maraussan a écrit :Oui mais ton Diaphot date de l'ère de la photo argentique, c'est le pourquoi du pourquoi...

Une question intéressante.
Les boitiers argentiques ne disposaient pas d'EFSC (obturation électronique après ouverture du premier rideau, chez Canon... ou sur les Sony NEX)
Je peux préciser que j'ai abandonné toute idée de prendre mon D700 pour faire des photos au microscope, lesté ou pas... ça n'est pas un boitier de guignol, mais non, l'ouverture du premier rideau suffit à tout vibrer.

Quelques suppositions ; les boitiers argentiques étaient mieux amortis ? je ne crois pas.
les pellicules photos sont bien plus tolérantes que les capteurs... surtout depuis que ceux-ci sont bourrés de photosites.
les temps pause ne sont pas les mêmes ?
on n'avait pas les mêmes exigences : j'ai des photos argentiques faites au microscope - de la fujichrome 100 asa + boitier Nikon FM-2 - ce sont des lames minces de roches - ça passe bien en projection, ça passe en vignette sur les forums... mais à "100%" du scan (scan pro, à 3200 dpi), par rapport à ce que je fais en ce moment avec mes Nikon One / Canon EOS 500/550D / Sony NEX 5N, il n'y a pas photo. C'est bien meilleur en numérique... mais les boitiers cités ne sont pas le D700 qui vibre.

Sinon, pour en revenir au fil de discussion, je n'ai pas trop d'avis.
J'aurais dit que vue la taille des objets à observer, des observations à immersion, ça n'est pas obligatoire.

Frédéric :
J'aurais dit que vue la taille des objets à observer, des observations à immersion, ça n'est pas obligatoire.

Tu fais allusion aux besoins de Coem, exprimés dans un autre post ?
Pour mémoire, il avait précisé ultérieurement : (usage) Professionnel, détection d'helminthes pathogènes de l'homme et de l'animal. Il s'agit d'observer les œufs variant pour l'ensemble des espèces de ~20 µm à 160 µm. On peut occasionnellement tomber sur des kystes de protozoaires.

Je suis bien d'accord pour préciser qu'un "bon" 40x (mais qu'est-ce un bon 40x ?) suffit pour l'essentiel, mais on risque de coincer sur les kystes de protozoaires. Le 100x est nécessaire. Un "très bon" 100x, oserais-je dire. Ha, tenir un budget...

lol... merci Alain pour ta vigilance, effectivement, ce sont des besoins de quelqu'un d'autre, dans un autre topic (où tu es aussi intervenu)
OK pour le "très" bon objectif à immersion pour les protozoaires enkystés... je ne connais pas ce domaine (je réagissais pour les objets de 20 à 160 micromètres... mais effectivement, un 40x pour du 20 microns, ça fait parfois un peu juste)

fin du HS, donc...

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Sinon, au temps de l'argentique, il me semble que souvent, pour obtenir des images, on passait par des chambres, avec obturateur central (et pas des systèmes avec miroir qui se relève, obturateurs à deux rideaux...), obturateurs qui étaient isolés du reste, avec des silent-blocs...

Correction hors sujet....

Bonjour à tous,

Quelqu'un pourrait-il me dire quel est l'instrument dont l'image a été placée par Maraussan (dans l'un de ses messages de ce thème) pour illustrer ce qu'il appelle un "vieux machin" ?

Quelques indications techniques (marque, modèle, caractéristiques générales) m'intéresseraient.

Merci d'avance.

Bino