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Re: Génomes des diatomées.
Posté : 17 nov. 2020 11:14
par Maraussan
(apportant la frustration de lire des équations aussi incompréhensibles que celles de la physique quantique).
Les équations sont simples en fait, et sont gérées sous des logiciels de mathématique du type MatLab de MatWorks.
Soyons clair pour autant, elles n'ont jamais eu la prétention d'expliquer la vie.
Simplement, à l'heure actuelle, tout le monde tripote une grosse pelote de laine en cherchant un des bouts.
Re: Génomes des diatomées.
Posté : 17 nov. 2020 12:24
par GeLe
Ces équations sont peut-être simples - je ne me rends pas compte, je ne suis pas assez fort en mathématique - mais ce que je voulais dire surtout, c'est que si les équations différentielles (et autres) ont permis de décrire le monde quantique et astronomique, je sais aussi qu'il a fallu que plusieurs siècles s'écoulent pour que les mathématiciens fournissent un outil pour résoudre un certain problème physique (je ne sais plus lequel). C'est ainsi donc que je comprends la phrase de Prigogine citée plus haut : utiliser les équations différentielles comme en physique quantique (et autres) pour décrire la morphogenèse et la vie en général est peut être stérile parce que dans ce cas ce sont d'autres mathématiques qu'il faut. Je me suis fait à cet idée, mais j'ai peut-être tort. Donc, d'accord pour la pelote de laine (ou le sac de nœuds), mais les mathématiciens ont peut-être de trop gros doigts que pour attraper un bout.
Re: Génomes des diatomées.
Posté : 17 nov. 2020 13:44
par Maraussan
Donc, d'accord pour la pelote de laine (ou le sac de nœuds), mais les mathématiciens ont peut-être de trop gros doigts que pour attraper un bout.
Ils n'ont pas cette prétention, mais tentent d'apporter de l'eau au moulin. Ce qui peut aider à faire un "tilt" dans le cerveau d'un chercheur, qu’il soit matheux ou non.
D'autre-part, ils n'interdisent pas aux autres disciplines d'en faire autant...