Bonjour à tous et à André,
pour tenter de répondre à ta question, André, je suis passé au x 100 (j’y répugne, mais force est de constater qu’il faut bien pousser le bouchon plus loin (…Maurice, ou plutôt « Mauriche », pub de fin des années 90) pour les détails.
Or donc je n’ai pas plus de réponse affirmative que ça (je ne suis « panynologue niveau CAP » QUE parce que je fais des photos de grains de pollen… restons humble).
Il s’agit là, photos de ce message, de pollen à l’état brut donc bien garni de cire.
Les échinules (j’adopte mon néologisme) sont de tailles diverses.
Comme toujours la zédification, pour intéressante qu’elle soit, a des revers : celui de brouiller parfois la lisibilité.
La question d’André m’a fait émettre l’hypothèse que les trucs visibles pouvaient être des artefacts provenant le l’ombre portée se retrouvant ainsi assimilée à une partie prenante des pores. Il fallait donc en avoir le cœur net. C’est pourquoi je propose un triptyque de 3 plans focaux qui montre que des échinules font bien partie des pores (ou trouvent leur place dans les pores). Ceci n’est qu’une supposition (bien hasardeuse) qui demanderait à être confirmée ou infirmée par un spécialiste.
Par ailleurs, pour ceux que cela intéresse, sur la photo n°146 on voit des « trous » noirs (première lecture) qui s’avèrent, en fait, être des sommets d’échinules -cliché n°180-.

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Photo suivante pour le plaisir pour justifier l'usage du x 100

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