Je vais faire court car le sujet est tellement vaste et polémique que je préfère m'abstenir....
Pour répondre à ce qui vient d'être écrit:
AVANT on mourrait en sachant qu'on avait bien vécu (le p'tit canon, les pâtés, les bonnes chasses etc...) et souvent bien abusé des bonnes choses.
MAINTENANT, on crève d'un cancer qu'on a choppé on ne sait où, d'un Alzheimer ou d'un ESB (c'est pratiquement pareil sauf qu'on préfère dire que c'est un Alzheimer, ça rapporte plus et ça dérange moins) on est allergique à tout et souvent asthmatique et cela en ayant trimé toute une vie de stress, de privations, et de charges fiscales monstrueuses qui engraissent un système devenu fou.
Perso, j'ai dit stop il y a bien longtemps; je ne bosse plus depuis l’âge de 42 ans, je cultive mes légumes, j'élève mes poules et mes lapins et tant pis si ça coute plus cher et, qu'à la fin, mon compte en banque n'est pas si garni qu'il aurait pu l'être.
Mon épouse et moi cuisinons tout ce que nous mangeons, on sort la poubelle 2 fois par mois car il n’y a pratiquement pas d’emballages ou de boites à jeter ; pas un plat cuisiné ne rentre chez nous.
Comme il a été dit plus haut, la folie c’est bien de ne plus disposer de temps pour se cuisiner sa propre nourriture. Le constat en est fait sans révolte et il justifie la malbouffe.
Je ne suis vraiment pas d’accord !
Le concept « Lamackien » éculé de la fonction qui crée l’organe semble pourvoir encore être invoqué avec les aliments tout prêts : c’est parceque les gens qui bossent dur en ont besoin que les plat cuisinés existent… et si le concept était tout aussi éculé quand on l’applique de la sorte et si on se disait : il faut absolument que je change de vie car je ne peux plus élever mes enfants et cuisiner mes repas ?
J'aimerai tellement que l'humanité se rende compte de la folie de la « croissance » si chère à nos « politocards » et sache s'adapter aux ressources renouvelables et uniquement à elles.
PS : Finalement, je n’ai pas fait si court que ça…. Grrr, ça m’énerve ce genre de topic
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