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Re: Les malheur de ma chienne...
Posté : 09 juil. 2011 23:23
par damien3l2
Merci Kinette pour ces précisions
Pour le traitement administré à Elya et en particilier les corticoïdes, je me suis renseigner chez 2 autres véto et ils m'ont confirmer que c'était effectivement le traitement adapté.
Semaine dernière, des amis ont discuté avec le vétérinaire qui a soigné ma chienne " Elya est passée très près de la mort, elle avait sans doute des nécroses internes! "

Re: Les malheur de ma chienne...
Posté : 12 juil. 2011 22:37
par Deklik
Kinette, si il faut 20 piqures par kg de chien, je pense que ça doit laisser des traces...
Tu as raison pour le coté "culturel", c'est tjr la faute du serpent! Meme si le "risque frelon" est 100x plus élevé.
Re: Les malheur de ma chienne...
Posté : 22 juil. 2011 00:53
par Kinette
Deklik a écrit :Kinette, si il faut 20 piqures par kg de chien, je pense que ça doit laisser des traces...
Bonjour,
Pour un choc allergique, une piqûre suffit...
Cordialement,
K
Re: Les malheur de ma chienne...
Posté : 22 juil. 2011 10:08
par BelialL
Bonjour,
Kinette a écrit :
Pour un choc allergique, une piqûre suffit...
Cordialement,
K
Oui, c'est le plus gros risque des piqures et des morsures.
Après deux morsures de vipère par exemple, le risque de faire un choc anaphylactique pour les suivantes est plus élevé.
Et comme l'a dit Kinette, une seule fois suffit et le seul traitement efficace est l'adrénaline.
Il y a eu plusieurs témoignage de passionnés de serpents qui ont failli y rester à la troisième morsure alors qu'il n'y avait eu aucun problème majeurs pour les deux premières...
Re: Les malheur de ma chienne...
Posté : 04 oct. 2011 09:50
par jarailet
Je crois que l'emplacement de la morsure est important. A la gueule, pour le chien qui fourrage dans les buissons, c'est plus grave qu'à la patte. L'abattement brutal du chien lors de la promenade doit être alarmant et nécessite une surveillance dans les heures qui suivent.
Ma chienne a eu deux fois (sans doute plus) une certaine chance :
En rando , sur un sentier dans une pelouse rocailleuse et une autre fois à la bécasse sur un sentier dans les broussailles, j'ai trouvé devant moi, alors que la chienne venait d'y passer, une vipère immobile... qui n'a consenti à me laisser la place que lorsque je me suis approché à un mètre. La première, en terrain plus dégagé s'est arrêtée dans une touffe de bruyère mais a cependant refusé de poser pour la photo. La seconde a disparu lentement sous les buissons.
Depuis, je regarde les vipères d'un autre œil mais je reste un peu inquiet lorsque nous nous baladons dans certains coins !