Le Naturaliste

Bonsoir André,

C'est vraiment très bien réussi toutes tes photos de mousse !
http://www.lenaturaliste.net/forum/view ... 92&t=22903

Tu n'as mis aucun produit de montage à ce que je lis ?
Combien de temps conserves-tu tes lames de mousse ?

Bonjour Catherine

Merci pour tes appréciations.
Je conserve les lames de mousses le temps de leur détermination qui parfois peut durer quelques jours !
Je place les feuilles dans une goutte d'eau à laquelle j'ajoute une petite goutte de Aqueus>mountant : cela permet cette conservation.

Dommage de ne pas pouvoir les conserver plus longtemps.

Utilisateur nomade (via mobile device)

un milieu de montage semi durable comme la gélatine glycérinée permet aussi un certain temps de conservation...

Ah d'accord Daniel, c'est mieux que 15 jours.

Bonjour à tous

Effectivement, il y aurait la solution de la gélatine avec laquelle je conserve d'ailleurs des grains de pollen depuis 2004.
Par ailleurs les mousses se conservent en herbier sans problèmes .
Mon herbier de mousses date de plus de 27 ans et les échantillons sont toujours observables . Il suffit de mettre une goutte d'eau et de prélever feuille ou autre organe
En voici un exemple datant de 1995 : Hylocomium umbratum
L'échantillon: Une feuille entre lame et lamelle :

Bonjour André, tous

Mais c'est très bien un herbier de 27 ans, bravo !
Je vais peut-être tenté d'en faire un petit, avec les mousses et toutes sortes d'herbes qui se trouvent dans mon jardin.
Il suffit de bien sécher les mousses entre deux feuilles de papier ?
Bon, il faudrait peut-être ouvrir un autre sujet ...

Bonjour Catherine

Un herbier de mousses est facile à confectionner : il suffit de laisser sécher les mousses à l'air libre et les mettre ensuite dans un étui de papier où figure toutes les données utiles : voir http://www.lenaturaliste.net/forum/view ... ses#p21324

Bonsoir André,

Merci beaucoup pour le lien.

Bonjour,
un herbier bryo est très simple à faire, ne demande aucun entretien (les bryos ne sont a priori pas attaquées par les insectes qui ravagent parfois les herbiers trachéophytiques) et la durée de conservation est très longue. Je travaille actuellement sur des herbiers du milieu XIXème siècle, et la procédure d'observation est aussi simple que celle décrite par André : une goutte d'eau et c'est parti pour un voyage dans le temps !

Olivier