Cuscuta scandens
Posté : 02 nov. 2021 11:04
Bonjour à tous !
Voici une plante parasite des plus curieuse. En effet si la plupart des plantes parasitaires comme les Osyris ou les Orobanches, se branchent directement sur les racines, celle-ci, pompe directement sur et dans les tissus aériens de l'hôte.
Cuscuta scandens Brot., 1804 [Convolvulaceae]
Observée à Mouret, commune de Leucate (11), entre le 7 mai et le 19 août 2021. (pour la toponymie, voir Plantes vasculaires de la commune de Leucate (11).
C’est une plante parasite sans chlorophylle des sables littoraux, qui ici, vise principalement l’Apiacée pluriannuelle Echinophora spinosa Linnaeus, 1753. Comme elle perd sa racine au bout de quelques jours après germination se nourrissant aux dépends de l’autre.
La plante se présente comme un fil épais orangé recouvrant d’autre plantes auxquelles elle s’accroche.
Les feuilles bien que présentes sont relictuelles :
Ici, l’extrémité d’une tige en croissance, avec division et formation de feuilles aux aisselles.
Voici une plante parasite des plus curieuse. En effet si la plupart des plantes parasitaires comme les Osyris ou les Orobanches, se branchent directement sur les racines, celle-ci, pompe directement sur et dans les tissus aériens de l'hôte.
Cuscuta scandens Brot., 1804 [Convolvulaceae]
Observée à Mouret, commune de Leucate (11), entre le 7 mai et le 19 août 2021. (pour la toponymie, voir Plantes vasculaires de la commune de Leucate (11).
C’est une plante parasite sans chlorophylle des sables littoraux, qui ici, vise principalement l’Apiacée pluriannuelle Echinophora spinosa Linnaeus, 1753. Comme elle perd sa racine au bout de quelques jours après germination se nourrissant aux dépends de l’autre.
La plante se présente comme un fil épais orangé recouvrant d’autre plantes auxquelles elle s’accroche.
Les feuilles bien que présentes sont relictuelles :
Ici, l’extrémité d’une tige en croissance, avec division et formation de feuilles aux aisselles.