afin de vérifier les atouts de chaque méthode d'éclairage, j'ai photographié la même cellule jugale (un sujet qui prend bien la pose
La mise au point est faite sur le noyau et on peut deviner l'ornementation de la membrane de la cellule (ridules).
Volontairement, je n'ai pas recadré pour retirer le vignettage résiduel afin d'être sûr d'avoir la même échelle.
Le traitement logiciel est identique pour pouvoir comparer : retouche optimisée automatique Photoshop Elements, un peu de renforcement.
fond clair : 1/1250 s
contraste de phase : 1/200 s
contraste interférentiel : 1/4 s
Conclusion pas surprenante :
Le fond clair est hors course pour les sujets transparents : il n'était là que pour comparaison.
Le contraste de phase est parfaitement adapté aux sujets mobiles et transparents comme les protozoaires (justement nommés "objet de phase").
Le contraste interférentiel montre ses capacités de section optique mais nécessite une LED de haute puissance : les 3 W ne sont pas suffisants, 5 W ne devrait même pas suffire ! Impossible pour moi de chasser les protozoaires avec.
Bref, je continue à chasser au contraste de phase, que je trouve particulièrement bien maitrisé (pas de halo excessif), et je garde le DIC si l'occasion de faire un beau cliché avec se présente (sujet docile).
PS1 : je n'ai pas encore trouvé où se cache les saletés dans le chemin optique, il faut que je cherche encore (MAJ : trouvé, c'est dans l'objectif de l'APN)
PS2 : je n'ai pas fait de cliché en DLC Piékos car les résultats sont impossibles à photographier : j'abandonne totalement cette technique à la mise en œuvre complexe et aux résultats inconstants. Mieux vaut simplement faire du COL.



